vendredi 30 septembre 2011

Nénette Persévère.




____Des nouvelles d'un diabétique. Enfin! :)

Elles sont bonnes, bonnes, bonnes! Car les amis nous sortons à peine d'une rupture de stock (OMG!). Petit stock, certes, petite maison d'édition oblige. Mais c'est quand même hyper positif m'a-t-on dit, surtout pour un recueil de poésie (traduction: écrire de la poésie sur les pages d'un livre, c'est un peu comme lui faire une belle reliure toute en épines). Et en faisant un tour à mon école mardi, j'ai pu me rendre compte que beaucoup de personnes n'avaient pas réussi à se le procurer (mais qui sont alors ces personnes qui ont vidé le stock? Le mystère reste entier!). Et bien il semblerait que ce problème de stock soit résolu. Librairies, ou sites en lignes (tout est dans le menu à droite), mon bébé de buvard fait son grand retour. Alors j'ai décidé de lancer une deuxième "opération marketing". De me bouger pour réduire à zéro ce nouveau stock. Les réactions positives des gens, le regard sur moi que je trouve changé, tout ça me donne envie de foncer, de saisir ma chance au vol... mon statut de jeune chômeuse (mais parisienne, excusez du peu!) me permettant au passage de me lancer dans n'importe quel projet! :)

C'est très bizarre, la façon dont est perçu ce livre. On m'a même dit dans mon entourage: "Il faut que tu m'expliques comment je dois faire pour l'acheter". Comme si ça n'était pas un livre "normal". J'avoue que j'ai encore du mal à le voir ainsi. Ma cousine m'a dit il n'y a pas longtemps "je l'ai acheté à la Fnac, j'étais trop fière"... Mon dieu je crois que je suis fière aussi. Et croyez-moi, ça ne m'est pas arrivé bien souvent dans ma vie.

Il y a un texte spécial dans ce livre. Un texte en rapport avec la rupture douloureuse entre moi et mon père, rupture que j'ai initié il y a 7 ans. J'ai écrit ce texte dans le contexte d'une "thérapie littéraire". C'est un peu les mots qui me soignent, assez souvent. Le livre est sorti, mon père a apparemment lu ce texte puisque qu'un bébé ouragan bouscule quelque peu  ma vie en ce moment. Si vous lisez ce livre, que vous lisez ce texte, j'aimerais avoir votre avis sur les mots que j'ai employés. Je n'ai pas hésité à le mettre dans le manuscrit, ce fameux texte, parce que je n'y trouvais aucune bassesse, aucun coup bas. C'est un texte sur la façon d'évoluer, de s'en tirer en ayant grandi avec un seul parent, en ayant beaucoup souffert alors qu'on se construisait. Aujourd'hui une personne salit un peu la petite fierté que je retire de ce petit tas de papier. Alors si vous avez le temps, envoyez moi vos avis, toujours à la même adresse: perezanne@msn.com

Voilà, je voudrais aussi envoyer mille pensées à Anne Bienfait, et la remercier ici pour ses mots et sa gentillesse.

Enfin, je dois vous dire qu'un de mes textes a été publié dans une petite revue littéraire spécialisée dans la poésie (je vous montrerai tout ça dès que j'aurais de quoi scanner), et que je vais normalement être bientôt contactée par deux journaux de ma région. *yeux qui brillent*


Mon dieu les enfants, si je pouvais réussir à faire en sorte que la poésie change ma vie... Je crois qu'il n'y aurait rien au monde de plus joli.








__________________________Nénette


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jeudi 29 septembre 2011

Nénette & La Fin Du Monde.




J'en frissonne encore. De ce Melancholia. Mon Dieu oui je l'ai enfin vu, c'est pas trop tôt me direz-vous. Il se trouve qu'avec tous les chamboulements qu'a généré le passage fin de stage en délire --> nouvelle vie, j'ai été plus que prise. Sans compter que l'amoureux chez qui j'ai passé les plus clairs de mes we ne semblait pas spécialement emballé à l'idée d'aller voir ce genre de drame apocalyptique. Je vous résume donc la situation vite fait. Je suis à Paris, pour un mois. Dans l'appartement de mon cher et tendre, absent la journée. Deux jours que je suis là, je me suis fixée de commencer mes recherches de boulot la semaine prochaine, j'ai mille choses à faire en attendant, mais la chaleur m'alanguit. Or j'ai repéré un petit cinoche à 15 minutes à pied, Melancholia y est projeté à 13h30. Je ne sais pas, il y a dans le fait d'aller au ciné toute seule comme une sorte de sentiment un peu honteux. Alors je me dis ma cocotte, celui-là, tu ne le verra pas sur l'écran de ton vieux PC. Grand film qui se profile, grand écran oblige. Et bien les mecs quel délice. Quel délice de clopiner dans les rues parisiennes un peu au hasard, de se retrouver ni une ni deux dans une toute petite salle un peu vieillote, de s'avachir un peu sur le siège, et de se remplir les yeux du spectacle. Du film de la décennie je dirais. Oui oui oui je m'enflamme un peu plus à chaque film que je vois. Mais Lars von Triers vous prend aux tripes. La névrose ne se joue pas simplement sur l'écran, mais jusque dans vos entrailles. Kirsten Dunst est sidérante de talent (j'ai franchement été étonnée même si je l'aimais déjà, cette petiote), elle vous colle de minute en minute un mal de bide qui vous ronge jusqu'à la fin. La Gainsbourg qui m'exaspère d'habitude par ses soupirs est géniale, elle passe de toute façon mieux en anglais, à mon humble avis. Je me suis un peu reconnue en elle, dans sa frayeur quotidienne, dans sa réaction face à la mort imminente. Oui parce que bon, Melancholia n'est pas un film joyeux, ça non. Une mariée complètement dépressive, sa soeur rongée par le même mal, et une planète qui poursuit une trajectoire inébranlable, en direction de notre bonne vieille Terre. Du luxe, de l'argent à gogo. Mais un film pas bling bling pour un sou. C'est beau, c'est silencieux, majestueux. L'introduction est superbe. La fin est écrasante. Je me suis véritablement sentie exploser les enfants. Pour de vrai. Alors je ne vous raconte pas la tête de zombi à la sortie. Car voir un film toute seule c'est aussi capturer des images juste pour soi. Je suis sortie de la salle en ayant l'impression d'avoir en poche un trésor inestimable. Et ma foi, c'est peut-être le cas. Alors avant qu'on nous l'enlève des écrans, courez, sautez, allez-y sur les mains, qu'importe, mais allez exploser vous aussi. Petit Lars, tu es ce que tu es, mais sur le coup, je t'ai kiffé. Ca oui.



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mercredi 28 septembre 2011

Nénette Parisienne Ephémère.


Bien bien. Me voilà donc de retour, après avoir laissé ce pauvre blog à l'abandon. Mais je vous l'avoue, la dernière semaine a été bien riche en évènements de tous genres (retour rapido presto en France, soucis d'appartement bordelais, gestion d'un futur incertain, sousous faisant défaut), et bien pauvre en connexion internet efficace. Après être retournée quelques heures à Bordeaux City pour passer ma soutenance finale, expédier mon statut d'étudiante chimiste à la trappe (youpi, soit-dit en passant) et croiser quelques visages amicaux, j'étais à nouveau dans le train, direction Paris cette fois, pour m'y poser quelques temps, enfin enfin enfin! J'ai 1000 choses à faire, 1000 choses à vous raconter également, donc si je ne m'y mets pas tout de suite cela m'en fera très vite 2000, ohlala! Nouvelles du Buvard Diabétique, bouquins et musiques à conseiller, billet photos à poster, petites chroniques de vie rigolotes à écrire, envies shopping et boustifaille, AND SO ON! Mon dieu! Sans compter que mon petit coeur palpite de panique à l'idée des semaines qui m'attendent. Je crois que finalement je vais m'en retourner aux plannings que l'étudiante que j'étais construisait pour se rassurer dans ses révisions... Sauf qu'à présent exit les révisions, il s'agit d'apprendre la vie mamz'elle! Ca promet! Alors en attendant d'avoir mis un peu d'ordre dans mes "placard intérieurs" et de pouvoir produire ici quelque chose de plus constructif qu'un "Au secouuuuuuuuuuuurs" balancé en noir sur fond blanc, je vous aiguille vers deux super girls dont je visite les blogs très souvent, et depuis peu . Evidemment, ça parle encore chiffons, mais ça faisait longtemps que je n'avais pas été superficielle par ici, non? Les photos sont belles et travaillées, les textes sont mordants, tout ça déborde d'intelligence, qu'elle soit vestimentaire ou littéraire. Alors attendez moi là bas, oki? J'arrive.




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vendredi 23 septembre 2011

Nénette Envoie Un Télégramme.





Suis toujours en vie. STOP. Vais bien. STOP. Connexion albigeoise sur vieux PC de maman soit Internet qui galope à dos d'escargot. STOP. Reviens très vite avec plein de belle péripéties qui croustillent. CRAC.





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vendredi 16 septembre 2011

Nénette Fout Le Camp.

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Un vieux tram bleu ciel qui se prend pour un bout d'au dessus.
Un jongleur planté bien droit devant un feu vert et une ribambelle de voitures.
Une dernière frite, qui craque.
Bruxelles je te quitte, mon aimée. 
A la revoyure.






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mercredi 14 septembre 2011

Nénette & Quelques Rides.




On sera comme ça nous. Le corps tout cabossé, lui anobli par une une belle crinière grise, moi fidèle à mes mixtures colorantes, mais le front strié des épreuves du temps. Je le vois déjà, sa belle peau dorée tannée par les années, la barbiche un poil plus imposante, et son sourire qui brille encore, et pour toujours. J'imagine le contact que créera ma main fatiguée dans la sienne, sera-t-il le même? Comment ressent-on une peau froissée par le temps? Est-ce que chaque effleurement rappelle l'issue qui se rapproche? Ou bien se ressent-il en fait comme l'exponentielle de la somme de tous les effleurements passés? Y a-t-il une explication rationnelle à la mécanique de l'existence? Et si on frissonnait davantage, lorsque notre squelette ne tient plus vraiment en place? Si on ressentait plus la vie? 

Je nous vois, main dans la main, nos corps rapetissés de quelques centimètres assis tant bien que mal sur une banquette de métro, qu'un jeune couple d'amoureux nous aura gentiment laissée. Je vois mes yeux qui clignent, qui lisent et relisent les noms des arrêts qui défilent, je me vois oublier leur ordre, mais finalement je ne m'en sors pas si mal. Je le vois lui, son bras rassurant qui n'aura finalement jamais cessé d'entourer mes épaules, son regard un peu terni mais qui me perçoit plus fraîche, plus pimpante, plus jeune que je ne le serai jamais plus, et qui semble me dire à chaque instant: "Tu vois, on y est arrivé".

Où irons-nous, alors? Qu'aurons nous laissé derrière nous? Un mélange de nos ADN? Des pages de romans initiés par mes mains, inspirées par son parfum, sa douceur, sa perfection? Des bribes de voyages, des lieux, des époques, des circonstances? Combien de larmes pour combien d'euphories?

Je me vois ajuster la grosse monture de mes lunettes, plisser désespérément mes yeux lorsqu'il s'éloigne un peu trop, que sa silhouette se perd dans un brouillard flou. C'est encore et toujours lui qui ouvre la marche, qui couvre mon passage, qui rassure mes petits pas. J'imagine sur lui un grand manteau marine au col bien chaud, un joli couvre nez, un pantalon en tweed. Et je me demande si moi aussi, je porterai ces tissus, ces couleurs, ces formes universelles qui uniformisent les vieilles personnes. Je me demande si le goût, ou tout simplement l'envie d'avoir du goût se perd avec le temps. Y-a-t-il une lassitude? De l'apprêté, du sophistiqué? Ne revient-on pas à l'amour de la simple simplicité? Ne devient-on pas minimaliste? 

Qu'auront-ils inventé pour nous faire trembler? Jusqu'où la technologie sera-t-elle allée pour nous mettre à l'épreuve? Est-ce qu'on sera deux vieux grincheux, est-ce qu'on perdra un peu la boule? Je ne me vois pas désorientée. Je ne me vois pas seule. Je nous vois, riant de nous, riant du temps. Un rire pour chaque épreuve traversée. Des années donc à se tordre de rire, à tordre le cou au passé. Je nous vois user des mêmes surnoms, des mêmes intonations stupides. Je nous vois nous moquer du temps, manger des tagadas en cachette, sautiller bravement sur du Elvis, je nous vois commander italien, à la lumière d'une bougie, je vois ses petites rides qui s'illuminent, sa main qui serre la mienne, ma bouche peinturlurée qui envoie un baiser. Je nous vois jeunes, jusque dans nos sourires. Je nous vois fous d'amour, je nous vois libres.


(Je t'aime.)
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lundi 12 septembre 2011

Nénette Vacillante...




Ma foi oui. Les temps sont durs les amis. Tellement complexes qu'il est parfois difficile de savoir quel peton avancer pour ne pas reculer. Pour vous la faire courte, alors que sonne la fin de mon stage, j'avais prévu de rester à Bruxelles-la-Belle quelques mois, et d'y exercer le doux métier d'Amélie Poulain dans un salon de thé. Ceci combiné à la réalisation en parallèle de mes projets de gribouilleuse de mots et de jeune-fille/femme perdue en quête de son identité. Mais voilà. La délicatesse des viennoiseries, le joli goût sucré des confitures maison, la forme adorable des petites théières qui crache leur Earl Grey fumant... et ben tout ça a joyeusement foutu le camp de ma tête de rêveuse, en laissant place à l'envers du décors, cet espèce d'enfer sans nom, qui m'a infligé des bleus sur les bras, des courbatures jusque dans mes orteils, des cernes qui traînent par terre... choses que j'aurais pu accepter en serrant les dents (je suis naïve, mais il y a quand même des limites) s'il n'y avait pas eu ce mépris pour la novice dans le métier que je suis, ces mots durs, trop forts, croassés par des bonhommes qui se donnent à tort le droit de les fourrer dans leur bec. C'est dans ce genre de situations que l'on saisit toute la dimension mesquine des rapports de force, que l'on comprend que la loi du plus fort n'est pas toujours imposée par le plus costaud. A 6h30 du matin, alors que je m'abîmais joyeusement les mains sur un presse-agrumes, j'ai réalisé que j'avais malgré moi été façonnée pour réfléchir, et que la vie simple et sans nuage boursouflé dans le cerveau que j'avais imaginé n'était peut-être pas ce à quoi j'aspirais en réalité. Vendre du  pain viennois et servir des marquises au chocolat est pour moi (et à ma grande surprise!) sacrément vide de sens, figurez-vous. Pondre la recette de ces dernières, travailler sur le moelleux du pain en question, voilà qui est extrêmement mignon. Parce qu'il n'y a rien de plus chouette que l'acte de la création. J'affirme cela du haut de la Nénette que je suis, bien sûr, et tout ceci n'est que mon avis de grande prêtresse des esprits tortueux. Bref. Grosse remise en question, donc. J'ai découvert avec étonnement que je n'aimais pas qu'on me donne des ordres, et que je savais répondre un peu vertement, quelquefois. C'est déjà une belle découverte me direz-vous. Et également que, quoi que j'en dise/pense, cette longue formation scientifique m'a hissé quelque part, au dessus de quelque chose, vers de belles aspirations d'ambitieuse, non scientifiques certes, mais elle m'a donné la folle idée qu'elles pourraient être réalisables. Malheur, moi qui me disait simple et prête à m’accommoder de peu. Je me découvre un orgueil grassouillet. Et bien soit. Mes plans changent, je rentre en France. En ce moment j'oscille entre Paris et Bordeaux. Et seules les deux semaines d'intense cogitation qui m'attendent auront raison de mon choix. En attendant, j'ai bien envie de vous pondre un billet dédié à la joie des petits boulots... Petit boulot auquel je suis quand même très fière d'avoir survécu. A très vite donc! Bises


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mercredi 7 septembre 2011

Nénette & Une Diva.







Un coup de coeur immense. Et inattendu!
Inconnue des radios françaises, cette New Yorkaise a déjà envahi les blogs internationaux. Son album sort en France le 16 octobre. Sa chanson "Video Games" tourne déjà sur mon blog (playlist Grooveshark à droite). Mais je crois qu'elle se déguste plus délicieusement encore à travers son clip, un petit "bijou vintage" dixit les Inrocks, et ma foi c'est bien le mot. Et je pense, qu'en plus de vos yeux vissés sur l'écran, de vos oreilles frémissant sous les notes, qu'un bon gros cookie Chunk trempé dans du lait chaud vous fera alors atteindre l'extase. Le lien pour écouter/voir cette merveille >>> http://lanadelrey.com . Sur-ce, un bisou (fatigué).





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lundi 5 septembre 2011

Nénette & Piaf.




______________________________Pink life.



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samedi 3 septembre 2011

jeudi 1 septembre 2011

Nénette Est Une Gourmande.







Laissez-moi vous parler en quelques lignes (et images) du plus joli salon de thé que j'ai jamais vu (et testé). Lors de notre escapade à Bruges dimanche, Tibo, Jojo et moi même avons été poussés par madame la pluie à nous réfugier bien au chaud. Nous atterrissons donc dans cette petite échope, dont nous avions repéré la devanture plus tôt. Un petit escalier en bois, et nous faisons irruption dans une sorte de bonbonnière hyper cosy, tables drappées de tissus à fleurs, petites lampes et gravures kitsch accrochées au mur, rideaux qui enveloppent la pièce, et le must, au fond une vieille radio hyper rétro, qui donne à la salle un air d'antan. Air d'antan renforcé par les calèches tirées par des chevaux qui carracolent sous notre petite fenêtre colorée de vitraux (welcome in Bruges City). Mon dieu qu'est-ce qu'on est bien. Nous commandons un chocolat chaud, il arrive, nous écarquillons les yeux: grands bols de lait fumant, petites coupelles (en chocolat) remplies de billes chocolatés que nous mélangeons avec un petit fouet absolument adorable, mignardises... Puis nos gauffres rejoignent ce joli tableau, toutes mignonnes, uniques de par leur forme (une structure en coeur si on y réfléchit, welcome in Bruges City bis) et lorsque je croque la mienne, je sens sur le bout de ma langue un petit goût de cannelle. Un délice. On mélange notre chocolat, on trempe un bout de gauffre, on tartine un peu de beurre, l'oeil à la fenêtre, avec ce merveilleux sentiment d'être à l'abris alors que dehors il pleut des cordes. J'aime Bruges. Je la découvre un peu plus à chaque fois que j'y vais. J'entends souvent dire que cette ville n'est pas authentique. Je crois qu'au contraire, c'est son authentique perfection qui la rend presque irréelle. Et voilà que sonne la fin de ce premier billet "gourmand". Je compte bien réitérer l'expérience...;)










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